mardi 25 mars 2008

Masterhit (242 ref.)

free music


comme à l'accoutumée après une journée de dur labeur, je m'affale comme une vieille espadrille devant ma boite à image, espérant souper d'un repas certes frugal mais au moins, cuisiné par mes soins (sisi, un mec qui sait faire autre chose que des pates trop cuites, c'est possible...) et ce, sans avoir le cerveau autrement occupé que par la volonté d'arriver à un effet casimir afin que mes paupières se ferment sans encombre.

Non, pas l'extra pédophilestre à l'abricot, je parle du savant pour ceux qui savent, et nous le savons (et pas seulement de marseille comme disait le P.D), ceux qui savent doivent le faire savoir z'aux z'autres.

Bref, je m'estramasse comme une fiente au guano sur le canapé sans en mettre une mouette à côté et me met en mode neuronal plat.

Mais non. Pas possible, pour deux raisons qui arrivent soit l'une trop souvent, soit l'autre rarement.

La première, c'est que malgré la mise hors tension léon de cet amalgame pâteux trop ramolli par le cartagène de ma génitrice préférée (en mm temps, j'en ai qu'une, c'est plus facile) ou bien par le cumul de jus de fruits tout à fait suspects aux yeux de la loi actuellement en vigueur (ils sont sans O.G.M), ou encore par la pratique répétée d'un onanisme cérébral et corporel (prends ta tête à deux mains, mon cousin) qui me mène généralement à tenter d'inculquer les bases du son (SANS cédille, bowdel !) à une bande d'ahuris désespérés de savoir que 2+2 = 4 et ravi de calculer que 1+1 = 3, incapable de faire une division, même panzer ou das reich, de tête... donc, malgré la déconnexion de cet organe trop volumineux, celui ci a une fonction qui consiste à se réactiver automatiquement (un peu comme le manque de scrupules chez le cadre moderne) dès qu'un message tente de profiter de son assoupissement pour le rabaisser.

Cela arrive fréquemment: entre la pubelle et les émissions "racle moi bien le cortex et flatte moi bien les gonades", ca ne manque pas.

Récemment, en zappant je tombe durant quelques secondes sur "l'histoire du disco"... avec Amanda Lear en présentatrice, dernier extra terrestre hermaphrodite (ou asexué... mais on dit que les anges sont asexués, s'ils ressemblent à ca, je vends mon âme au démon sans trainer et avec droit d'usufruit !) encore en activité, depuis que miss mongole, fière de l'être, s'est étouffée sous ses bêtises sur-siliconées...

Evidemment, restent encore quelques créatures du même ordre, du genre "montres du docteur moreau" mais en pire, genre stéphane bern, caniche royal hier, chihuahua médiatique aujourd'hui et probablement furoncle sevranesque plus tard... quand on sait que jacques martin faisait un jour "le petit raporteur" pour finir à faire guili guili le dimanche à des pauvres bambins obligés de chanter les pires morceaux de tristesse musicale afin de faire glou-glou-ter les mémères en brushing façon mamie gateau rassi, ca laisse imaginer où vont aller, l'âge en hausse et le cerveau en berne, ces ramassis de générateurs d'aigreur d'estomac de l'intelligence.

Bref, en zappant là dessus, que n'entends-je sur la grande écriture musicaaAAaale de cloww clowww ou bien encore sur ces rythmes inconnus qui déferlèrent alors sur la France en cette fin des années 70's ?!

Alors, déjà, précisons les choses: claude francois est à la chanson française ce que Jean Klooood "Aware & iz bakkk" est au cinéma d'auteur, suis je clair ?

Deuxio, la France était déjà dans les choux sur le sujet et la véritable disco vient de la blackspoitation U.S: aucun français n'a jamais apporté la plus petite contribution à cette musique et n'a fait que suivre la vague comme nous faisons depuis 50 ans au bas mot. La dernière fois qu'un français a inventé quelque chose de majeur dans la musique, c'était au moins Pierre Schaeffer ! (ca date pas d'hier, bandes d'incultes congénitaux, nourris aux simpsons et indentifiés depuis vos 7 ans à bart, la technique du jeu de mot et du "hi ! caramba" en moins)

Bon, j'exagère un peu... Brassens était majeur mais pas d'un point de vue musical mais d'un point de vue du texte. Je passe sur Brel, parce qu'excusez moi, il est autant français que le moule frite est corse.

Ca ne signifie pas qu'il n'y a pas d'artistes français valables, grands dieux non ! (je suis polythéïste à mes heures)... Bon évidemment, il faut que ce soit un dinosaure comme Eddy Michel qui relève que la chanson française actuelle est essentiellement composé d'artistes aussi rock'n'roll que tino rossi et aussi "novateur" que la scène electronique française "à la mode", c'est dire: pouêt pouêt.

Des tas d'artistes sont excellents mais ils sont reconnus d'un public inférieur aux militants du parti pour le vol tantrique pour la plupart... et certains, quand ils le sont et comprennent pourquoi ils le sont, ca leur donne souvent envie d'aller se mettre au tricot... (ou au bédo, ca change rien par rapport au tricot mais, au moins, on s'en branle !!)


Donc voilà un exemple de chose qui réactive malgré moi mon cerveau bien fatigué et m'oblige généralement à défenestrer ma boite à cons, ce qui me vaut l'ire de mes voisins et de mon banquier (j'ai trop besoin d'euronews... donc je rachète une télé... chacun sa drogue, hein !!)


L'autre bien plus rare, est celle qui s'est éveilléz tantôt devant Casablanca... et comme ce soir, devant Stalingrad. Evidemment, j'adore Ron Perlman, même dans ses films pour ados crétinisés consistant à massacrer gaiement les comics. J'adore aussi jude law, avec son regard permanent de gamin battu, sans compter Ed Harris.

Mais, une fois de plus, que dire de Rachel Weisz... si un ange a ses yeux, je reprends mon bail au diable (vendu plus haut, merde, suivez quoi ! je vais finir par faire des interros surprises moi, hein !) et lui offrir avec probablement tout le reste. Hop, on brade tout là !

Je n'ai même pas pu finir de voir le film... Evidemment, Annaud n'est pas un amateur, hein... mais il y a de ces regards, de ces femmes, qui vous feraient regretter de ne pas être, finalement, un de ces pauvres bergers russes sacrifiés sur l'autel d'un idéal déjà bouffé par les vers à cette époque.

Aucun rappor avec le film mais comme j'y pense (donc j'essuie), je devrais citer aussi Elsa Zylberstein... comment peux t-elle être aussi froide et belle et en un instant, être aussi chaude et sensuelle ? Comment un simple plissement de la fossette, un simple pli du coin de l'oeil peut véhiculer autant d'émotions, autant de force, à terrasser un éléphant ou un huissier de justice (la lourdeur de l'administration, le poids de la justice, tout ca) ? DeCaune, connard, enfoiréééééé !!!! T'a intérêt à assurer, sinon je te botte les fesses façon "rapido" jusqu'à ce qu'on puisse y faire cuire un oeuf !

Ou bien, je continue de me repaître des trop rares moments où je vois cette apparition d'un autre monde (à l'aise, pour moi, sudiste, méditerrannéen et néanmoins moins cons que la majorité des gens de ma ville de naissance... réélire gaudin, faut vraiment avoir envie de se faire enculer à coup de bottes moulées dans un pied de mammouth !)

cette apparition d'un autre monde, froide et belle comme une falaise bretonne en hiver, furieuse comme un enfer sous l'aveladenn, fine et subtile comme une chronique de la haine ordinaire, dangeureuse comme une centrale nucléaire iranienne, qui peut, d'un sourire à peine esquissé, me donner l'impression que je pourrais changer la course des comètes... son pouvoir n'est pas dans sa ressemblance avec elsa zylberstein: c'est l'expression de leurs qualités communes qui s'attachent à me rappeller pourquoi, ni l'argent, ni la drogue, ni la force, ni rien ne peut changer mon âme aussi surement que la femme belle, généreuse, cultivée et pertinente armée uniquement de son charme, de sa classe et de ce qui rends les hommes esclaves...

...les étoiles dans leurs yeux quand elles nous regardent.





(merde, deux fins à la guimauve en deux posts.... c'est la crise de la trentaiiiiiiine !!!)

dimanche 16 mars 2008

y'a pas... quand on est con, on est con... mais le problème c'est que les cons doivent se reproduire plus vite que les autres, me dis-je...?

allez, pour une fois, ma virgule de m... n'a pas eu la primeur de ma dernière mésaventure commerciale (histoire de pas dire "shopping", ce qui, bien sur, ne se rapporte qu'aux achats de la gente féminine, futiles par principe, inutiles par essence, esthétiques si l'on veut, mais indispensables évidemment, voyooooons, ma chériiiiiie, t'y'a vuuuuuuuu ??!!!)

<= et comment je vais me faire traiter de sale myso en une phrase... ahahahah, j'adooooore çà ! ((:

Donc, ce fameux combat récent pour avoir mon iPhone (ouais, je suis un geek macmaniaque et je flatule en salto arrière piqué sur le nez de ceux que ca dérange) que vous pourrez retrouver ici:

http://forum.macbidouille.com/index.php?showtopic=259069

Je me permet de préciser que c'est un peu moins bourre-pif verbal que d'hab et surtout avec des gens qui répondent. Tout n'est pas dans le ton habituel donc... mais cela amusera probablement quelqu'uns d'entre vous.

aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhh... le défouloir à coup de verbiage ! Vous pouvez pas savoir: c'est une thérapie pour moi.

Dès que j'ai un peu moins de choses en retard à finir pour l'année dernière... je remets une tartine.